Pas facile de parler d'un policier. En général, on n'a pas envie d'en savoir trop avant d'avoir lu le livre. J'en connais même qui ne veulent rien entendre, pas même un mot... N'empêche, le mec y meurt, à la fin... Nooon je déeecccconnnne ! Vous tombez tombe bien, je trouve en général inutile de raconter le livre, c'est parfaitement inutile d'autant plus que la quatrième de couv est faite pour cela et qu'il y a dedans exactement ce que l'éditeur et l'auteur souhaitent révéler du livre. En plus, il y a des tas de pages sur le net qui parlent de ce livre pour ceux qui veulent en savoir plus (voir les liens ci-dessous).
Bon aller je vais quand même en dire quelque chose. "L'homme à l'envers" de Fred Vargas a de ses ambiances bien française, avec ses gendarmes, ses paysages, ses voitures, ses décors et son commissaire. Il n'y a pas les subterfuges et artifices littéraires à la Maxime Chattam pour tenir de suspense. Pas besoin de violence non plus. On se balade tranquillement et paisiblement dans l'intrigue en prenant le plaisir simple mais pur et efficace de suivre des personnages hauts en couleurs et d'apprécier la richesse de leurs caractéristiques. A lire de toute urgence.
QUELQUES LIENS :
- Un avis sur le livre
- Un autre avis sur le livre
- Et encore un avis
- Un portrait l'auteur
- Un extrait du livre
LA QUATRIÈME DE COUV
Réintroduire des loups dans le Mercantour, c’était une belle idée, dans l'air du temps. Ce n'était pas celle des bergers et, quelques mois plus tard, la révolte gronde. Mais est-ce bien un loup qui tue les brebis autour de Saint-Victor ? Les superstitions ressurgissent, un bruit se propage : ce n’est pas une bête, c’est un homme, un loup-garou. Lorsque Suzanne est retrouvée égorgée, la rumeur devient certitude : les loups n’agressent pas les hommes. À Paris, devant sa télé, le commissaire Adamsberg guette les nouvelles de la Bête du Mercantour, d’autant plus intrigué qu’il a cru reconnaître Camille sur la place de Saint-Victor...
3 commentaires:
Moi, du Fred Vargas, j'n lirais sur la tête d'un pouilleux et si je n'avais plus le moindre centime pour en acheter, j'en volerais.
Et celui-ci en particulier, j'ai adoré.
Tu verras, les "bois de Neptune" aussi, c'est kekchose!
Tu vois avec le recul, on voit bien la différence avec le Chattam que j'ai lu il y a peu et ce Vargas. Chattam attire et attise la curiosité du lecteur avec du suspense parfois tiré par les cheveux, avec des artifices littéraires tirés par les poils et des effets cinématographique à l'américaine tirés par les dents. Ce Vargas, c'est de la vraie littérature avec de chouettes dialogues des personnages hauts en couleurs. Comme je dis dans le papier, pas besoin de violence ; de la li-tté-ra-tu-re, point !
Oui, de la musique avant toute chose et pour cela préfère l'impair.
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