Ces feuilles qui bougent, ces mouvements qui défilent
Et ces joies enfermées dans ces histoires passées.
Ces fleurs que l'on a pas prises ou pas données.
Le temps qui passe
Dans cet espace
Qui nous dépasse
Ce temps qui rouille
Ce temps qui brouille
nos certitudes
Ces flots de gestes qui se jettent au néant,
Ces mots qui tombent et s'enfuient en riant,
Ces tourbillons d'atomes et la chair qui se meurt,
Le ventre étouffé par l'absence et les heures.
Le temps le maitre
Le temps le traitre
Après nos morts
Le temps qui s'casse
Après la tasse
De nos désirs
Cette vie et ces ondes au dedans de nous,
Le soleil et la pluie, nos idées en dessous.
Et ces merveilles que moi je saurai voir,
Même, même si vous saccagez l'espoir.
Le temps sur terre
Ce beau mystère
Qui me fait vivre
Le temps de faire
Contestataire
Et Libère terre
Mon printemps dans ma voix qui s'entend,
mes mains mobiles et les yeux de ces gens,
Ces amours, ces vies qui jaillissent du vide,
Comme ces arbres, comme ces fruits d'eau limpide.
Que je pardonne
Au temps qui m'donne
Des jours nouveaux
Ce temps qui laisse
Des pages blanches
A nos dimanches
A nos semaines
A nos années
Mauléon 1994
Et ces joies enfermées dans ces histoires passées.
Ces fleurs que l'on a pas prises ou pas données.
Le temps qui passe
Dans cet espace
Qui nous dépasse
Ce temps qui rouille
Ce temps qui brouille
nos certitudes
Ces flots de gestes qui se jettent au néant,
Ces mots qui tombent et s'enfuient en riant,
Ces tourbillons d'atomes et la chair qui se meurt,
Le ventre étouffé par l'absence et les heures.
Le temps le maitre
Le temps le traitre
Après nos morts
Le temps qui s'casse
Après la tasse
De nos désirs
Cette vie et ces ondes au dedans de nous,
Le soleil et la pluie, nos idées en dessous.
Et ces merveilles que moi je saurai voir,
Même, même si vous saccagez l'espoir.
Le temps sur terre
Ce beau mystère
Qui me fait vivre
Le temps de faire
Contestataire
Et Libère terre
Mon printemps dans ma voix qui s'entend,
mes mains mobiles et les yeux de ces gens,
Ces amours, ces vies qui jaillissent du vide,
Comme ces arbres, comme ces fruits d'eau limpide.
Que je pardonne
Au temps qui m'donne
Des jours nouveaux
Ce temps qui laisse
Des pages blanches
A nos dimanches
A nos semaines
A nos années
Mauléon 1994
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