Cet aprem, j'ai vu passer les grues. Magnifique. Le temps n'était pas très beau alors elles volaient assez bas et on pouvait ainsi apercevoir leurs longues silhouettes...
Après le ciel, je prends la terre.
La mousse gonflée par la pluie de ces derniers jours. Une bogue de châtaigne. Des feuilles mortes...
La mousse gonflée par la pluie de ces derniers jours. Une bogue de châtaigne. Des feuilles mortes...
Des morceaux d'écorce recouverts de lichen. Et puis cette plante, en forme de papillon, zébrée de blanc... Elle forme au printemps une grande fleur blanche et ensuite des boules rouges qu'il est fortement déconseillé d'ingurgiter (vous connaissez le nom ?)
Un chêne vénérable. Au fond à gauche un houx sombre derrière des branches de hêtre. A droite on aperçoit les branches du cèdre, puis les feuilles jaunes du tulipier...
Et le châtaignier en flamme
Ceci m'inspire cette phrase d'une chanson de Jean Ferrat (paroles d'Aragon)
La chanson sur Youtube
"Pourtant la vie"
A voir un jeune chien courir
Les oiseaux parapher le ciel
Le vent friser le lavoir bleu
Les enfants jouer dans le jour
A sentir fraîchir la soirée
Entendre le chant d'une porte
Respirer les lilas dans l'ombre
Flâner dans les rues printanières
Rien moins que rien pourtant la vie
Rien moins que rien Juste on respire
Est-ce un souffle une ombre un plaisir
Je puis marcher je puis m'asseoir
La pierre est fraîche la main tiède
Tant de choses belles qu'on touche
Le pain l'eau la couleur des fruits
Là-bas les anneaux des fumées
Un train qui passe et crie au loin
Rien moins que rien pourtant la vie
A doucement perdre le temps
Suivre un bras nu dans la lumière
Entrer sortir dormir aimer
Aller devant soi sous les arbres
Mille choses douces sans nom
Qu'on fait plus qu'on ne les remarque
Mille nuances d'êtres humaines
A demi-songe à demi-joie
Rien moins que rien pourtant la vie
Celui qui le veut qu'il s'enivre
De la noirceur et du poison
Mais le soleil sur ta figure
Est plus fort que l'ombre qu'il fait
Et qu'irais-je chercher des rimes
A ce bonheur pur comme l'air
Un sourire est assez pour dire
La musique de l'être humain
Rien moins que rien pourtant la vie
Ceci m'inspire cette phrase d'une chanson de Jean Ferrat (paroles d'Aragon)
La chanson sur Youtube
"Pourtant la vie"
A voir un jeune chien courir
Les oiseaux parapher le ciel
Le vent friser le lavoir bleu
Les enfants jouer dans le jour
A sentir fraîchir la soirée
Entendre le chant d'une porte
Respirer les lilas dans l'ombre
Flâner dans les rues printanières
Rien moins que rien pourtant la vie
Rien moins que rien Juste on respire
Est-ce un souffle une ombre un plaisir
Je puis marcher je puis m'asseoir
La pierre est fraîche la main tiède
Tant de choses belles qu'on touche
Le pain l'eau la couleur des fruits
Là-bas les anneaux des fumées
Un train qui passe et crie au loin
Rien moins que rien pourtant la vie
A doucement perdre le temps
Suivre un bras nu dans la lumière
Entrer sortir dormir aimer
Aller devant soi sous les arbres
Mille choses douces sans nom
Qu'on fait plus qu'on ne les remarque
Mille nuances d'êtres humaines
A demi-songe à demi-joie
Rien moins que rien pourtant la vie
Celui qui le veut qu'il s'enivre
De la noirceur et du poison
Mais le soleil sur ta figure
Est plus fort que l'ombre qu'il fait
Et qu'irais-je chercher des rimes
A ce bonheur pur comme l'air
Un sourire est assez pour dire
La musique de l'être humain
Rien moins que rien pourtant la vie
2 commentaires:
Ta plante, là, c'est des arums sauvages.
Le frelon, il était vivant? Brrrr... Demain, il gèle il parait... On sera débarrassés de cette chienlit!
Je viens de recevoir le dernier numéro de la Hulotte... Ils proposent des nichoirs pour frelons. Si tu veux, je t'en prends un pour chez toi.
Plaisanterie mise à part, les frelons, ce n'est pas plus dangereux que les abeilles ou les guêpes. C'est juste plus impressionnant. Je te trouve injuste envers cette pauvre bête qui agonisait.
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