mercredi 12 janvier 2011

Jazz naturel à Orthez


Paul LAY Trio

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Je dois dire que si pour moi le jazz est difficilement compatible avec l'absence de cuivres (le saxo notamment), j'admets volontiers que la formule contrebasse + piano + batterie est un modèle d'équilibre.
Dans un autre domaine, celui de la musique classique, le quatuor pour cordes qu'a mis en place Joseph Haydn est une autre formule qui a fait ses preuves. C'est un tel modèle d'équilibre que le quatuor pour cordes perdure encore aujourd'hui dans la musique contemporaine, après plusieurs siècles de développement.
Intuitivement, je sens qu'en jazz cette formule contrebasse + piano + batterie a encore quelques siècles aussi devant elle.

Dupdup a dit…

C'est Dupdup qui a écrit le précédent commentaire. Je n'arrive pas à comprendre pourquoi, depuis plusieurs mois, je n'arrive pas à laisser un seul commentaire sur ce blog avec ma véritable identité. Condamné à rester anonyme donc ...

Lurbeltz a dit…

Oui c'est bien vrai ça (comme dirait la mère Denis).
Oui contrebasse - piano - batterie, c'est le trio magique. Un peu comme les 3 couleurs primaires en peinture.
Il y a le rythme du balai de la batterie qui me met toujours dans un état second.
J'adore le jazz mais je ne suis pas un grand spécialiste. Mais sur une compil j'ai un morceau bourré de cuivres que j'adore et qui est pour moi THE morceau qui caractérise ce que j'adore dans le jazz, c'est "Im beginning to see the light" de Duke Ellington. Comme dirait l'autre... c'est énorme. C'est une version que malheureusement je ne trouve pas sur le net.

Dupdup a dit…

Après avoir lu ton dernier commentaire, je suis allé écouter ce morceau de Duke Ellington. Très très beau (mais je l'ai sur une compil et je n'ai pas l'année d'enregistrement de cette version).