- Il nous faut dépasser la double illusion de vouloir changer le monde sans nous changer nous-même, ou de nous changer nous-même sans changer le monde. Armen Tarpinian
- L'individu ne peut exister en dehors d'une organisation sociale, quelle qu'elle soit, qui assure sa conservation dès la naissance et tout au long de sa vie. Mais c'est « moi aussi « et non « Moi d'abord «.
Cela veut dire que la société doit s'occuper de mes besoins comme je dois renoncer à les faire prévaloir aux dépend des autres.
C'est dire aussi que mon évolution, comme celle de la société et de l'humanité dans son ensemble, dépend autant de transformations personnelles que de transformations sociales en constantes interactions.
La liberté individuelle qui prévaut dans les sociétés démocratiques doit s'accompagner de la responsabilité de chaque individu envers le bien commun, comme la cohésion de groupe dans les sociétés traditionnelles devraient laisser une place aux droits de l'individu.
De leur côté les individus sont coresponsables de l'état de la société où ils vivent, état qui dépend de la qualité de leur engagement dans la réflexion ou l'action, favorisant le bien-être collectif.
Assurer du mieux possible le lien social est d'une importance vitale et nous oblige à tenter de comprendre et d'instituer les conditions intérieures (motivantes) et extérieures qui permettent de l'entretenir et de l'améliorer, sachant qu'il y aura toujours à combattre les tendances individualistes qui tendent à l'affaiblir.
- L'individu ne peut exister en dehors d'une organisation sociale, quelle qu'elle soit, qui assure sa conservation dès la naissance et tout au long de sa vie. Mais c'est « moi aussi « et non « Moi d'abord «.
Cela veut dire que la société doit s'occuper de mes besoins comme je dois renoncer à les faire prévaloir aux dépend des autres.
C'est dire aussi que mon évolution, comme celle de la société et de l'humanité dans son ensemble, dépend autant de transformations personnelles que de transformations sociales en constantes interactions.
La liberté individuelle qui prévaut dans les sociétés démocratiques doit s'accompagner de la responsabilité de chaque individu envers le bien commun, comme la cohésion de groupe dans les sociétés traditionnelles devraient laisser une place aux droits de l'individu.
De leur côté les individus sont coresponsables de l'état de la société où ils vivent, état qui dépend de la qualité de leur engagement dans la réflexion ou l'action, favorisant le bien-être collectif.
Assurer du mieux possible le lien social est d'une importance vitale et nous oblige à tenter de comprendre et d'instituer les conditions intérieures (motivantes) et extérieures qui permettent de l'entretenir et de l'améliorer, sachant qu'il y aura toujours à combattre les tendances individualistes qui tendent à l'affaiblir.
Maridjo Graner - Regards sur nos raisons et déraisons d'agir p. 108 - Ed. Chronique sociale
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