mardi 14 avril 2009
Pour sauvez la planète, sortez du capitalisme
Présentateur de l'éditeur :
Un autre monde est possible, il est indispensable, il est à notre portée. Le capitalisme, après un règne de deux cents ans, s'est métamorphosé en entrant dans une phase mortifère : il génère tout à la fois une crise économique majeure et une crise écologique d'ampleur historique. Pour sauver la planète, il faut sortir du capitalisme, en reconstruisant une société où l'économie n'est pas reine mais outil, où la coopération l'emporte sur la compétition, où le bien commun prévaut sur le profit. Dans un récit original, l'auteur explique comment le capitalisme a changé de régime depuis les années 1980 et a réussi à imposer son modèle individualiste de comportement, marginalisant les logiques collectives. Pour en sortir, il faut prioritairement se défaire de ce conditionnement psychique. L'oligarchie cherche à détourner l'attention d'un public de plus en plus conscient du désastre imminent en lui faisant croire que la technologie pourrait surmonter l'obstacle. Cette illusion ne vise qu'à perpétuer le système de domination en vigueur. Comme l'illustre la démonstration ancrée dans la réalité et animée de nombreux reportages, l'avenir n'est pas dans la technologie, mais dans un nouvel agencement des relations sociales. Ce qui fera pencher la balance, c'est la force et la vitesse avec lesquelles nous saurons retrouver l'exigence de la solidarité.
L'ouvrage précédent d'Hervé Kempf, Comment les riches détruisent la planète, a rencontré un grand succès aussi bien en France et au Québec que dans le monde, avec des traductions en anglais, espagnol, italien et grec. Dans ce nouvel essai, l'auteur, journaliste au Monde, montre qu'en dépit des menaces l'avenir reste ouvert et l'optimisme justifié.
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12 commentaires:
CE LIVRE TU L AS LU AU MOINS??
Tu fais bien de me poser la question. J'ai même pris des notes en pensant faire un topo personnel et puis je me suis dis que j'avais rien à rajouter de plus intelligent que ce qui était marqué à l'arrière du livre !!!!
Par contre, j'ai pris une note qui pourrait t'intéresser à la page 71, il parle de cette tendance qui tend à remplacer les caissiers par des machines ; il dit : "cette disparition programmée des humains aux caisses des supermarchés fait songer à ce mot de la philosophe hannah Arendt : le totalitarisme ne tend pas vers un règne despotique sur les hommes, mais vers un système dans lequel les hommes sont superflus".
J'aimerais bien savoir ce que tu penses de cela.
ce livre est sensas et je le conseille à tout le monde. Je peux éventuellement le prêter mais il s'appelle "reviens".
Il est déjà réservé ???
Non il est dispo. Je te le fais passer jeudi à l'AMAP ?
Faut que j'y pense !
Au fait ! Rappelle moi, c'est jeudi la réunion pour Europe Ecologie ?
je pense que tu ne connait pas ma profession (vendeur informatique) a orthez pas chez leclerc et pas non plus caissier a mamouth. si pour manger il fallait etre caissier c est avec plaisir que je le ferais.
mais bon mon travail consiste a vendre des clés wifi . quand au superflu, je trouve une caissiere tout comme restaurateur d horloge dans les mémes catégorie , pourquoi restaurer des horloges alors qu une pile dans une horloge a 2€ fait le méme office( sans le tic tac de brel). chacun son métier faut savoir respecter l autre. l étre humain est remplacable partout ? je voit pas une femme acheter un gode pour remplacer un homme a vie donc...
Non, jeudi d'après. Le 23 avril.
Ce jeudi, c'est réunion à l'AMAP pour tous les contrats viande.
Comme dirait Gilen, pas facile à te suivre Pelotari...
J'ai manqué un épisode, je pensais que tu étais encore chez Leclerc.
Pour la comparaison entre la caissière remplacée par la machine et l'horloge à Quartz qui remplace l'horloge à poids, effectivement, c'est la même absurdité. Dans le second cas, c'est la disparition des horlogers ou alors la spécialisation du métier à l'attention de ceux qui ont réussi leur vie et qui peuvent se payer une rolex.
L'horloge comtoise était un objet peu cher à l'époque (entre 1830 et 1890) qui coutait 6 à 10 jours du salaire moyen d'un ouvrier. Et aujourd'hui lorsque je restaure une comtoise, je la garantie 10 ans... Faut le faire pour un objet qui a entre 150 et 200 ans !
Mais un homme, d'après pelotari, se résume à un gode. On peut changer d'homme et on peut changer de gode, c'est pareil, berdin, kif kif.
C'est comme une Comtoise et une pendule à kooooartz!
Vraiment, vous faites des histoires pour rien de ché rien!
sa c est sur que des caissieres a 150 - 200 ans faut quand méme penser a les renouveller
C'est la première fois que Pelotari émet une pensée contraire à celles de Sarkozy, lui qui veut oublier la retraite à 60 ans et faire bosser toulmonde le plus longtemps possible, quelle que soit la montée du chômage.
déja je commencerais par te mettre a toi a bosser mais bon se sera un travail pour moi de longue haleine
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