OPÉRATION "ZONE À OURS" : 2ème contribution
Si pauvres sont les mots pour décrire la guerre,
Le massacre inhumain d’animaux innocents.
Malgré l’appel scandé par des cœurs impuissants,
Le cri muet du sang coule depuis naguère.
Niant tout désespoir, avec l’arme grégaire,
La destruction nourrit les plus obéissants.
L’opposition s'entache à des débats cinglants.
L’ours brun pourchassé appelle à la colère.
Des visages figés par un constat bien noir,
La peur de l’ours traqué dans la brume du soir,
Egrainent l’espérance à vaincre sans relâche. .
Faut-il toujours souffrir pour voir fleurir la paix ?
Claudie Maréchal
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