samedi 31 octobre 2009

Chatons à donner

Donne 3 chatons de 3 mois.
Le troisième est caché dans le tas de bois.
Merci de diffuser autour de vous
Merci d'appeler à ce numéro 05 59 19 12 78 (Mauléon)

jeudi 29 octobre 2009

L'Empathie et l'internet

Maintenant on s'engueule sur le net. Même plus besoin de se voir. On s'étripe à distance. Pourtant, je le dis tout net, je ne crois pas que l'on puisse communiquer par internet. J'ai changé d'avis. Il y a quelques temps, je croyais dur comme fer que l'écriture avait tous les pouvoirs. Je pense que je me trompais. Surtout dans le cadre de la simple conversation et du simple échange. Un artiste, par ses poèmes, ses romans ou ses essais pourra sans doute nous ouvrir des champs inconnus des émotions inédites. Mais une conversation par internet, par téléphone ne peut pas résoudre des conflits d'ordre affectif parce qu'on ne peut pas faire preuve d'empathie par internet.
Il y a quelques années, j'ai lu un bouquin de Daniel Goleman au sujet de l'intelligence émotionnelle. Il expliquait qu'on donnait trop d'importance à l'intelligence intellectuelle au dépend de l'intelligence émotionnelle et surtout je me rappelle qu'il expliquait bien le rôle de l'empathie dans les échanges. L'empathie qu'est-ce que c'est ? Justement, j'ai repris le livre en question et j'ai retrouvé cette phrase : "Connaître intuitivement les sentiments des autres, c'est avant tout être capable de déchiffrer ces signaux non verbaux : le ton de la voix, les gestes, l'expression du visage, etc..."... Plus loin il dit " En matière de communication, la règle générale est que 90 % au moins des messages affectifs sont non verbaux."
En conclusion, quand il y a un problème et que les choses s'enveniment, ils faut arrêter les échanges par le téléphone et par internet. Il faut se retrouver face à face.
Pour la route, je vous fais part de ce petite fable qui date du 17 ème siècle et qui illustre parfaitement bien le sujet.

" On raconte qu'un Latin et un Sarrasin se rencontrèrent dans une vigne où les raisins abondaient. Tandis qu'ils mangeaient, le Latin dit au Sarrasin qu'on pouvait en faire du vin. Le Sarrasin répliqua qu'on n'en faisait pas du vin, mais du "nabit", ce qui, en arabe, veut dire du "vin". Mais parce que le Chrétien ne comprenait pas le sens du mot "nabit", et que le Sarrasin ne comprenait pas ce que voulait dire le mot "vin", chacun contestait ce que l'autre disait. Ils se querellaient très fort à ce sujet quand arriva un Grec qui savait la langue de chacun d'eux. Il leur dit que les mots "vin" et "nabit représentaient en réalité une même chose, mais qu'ils étaient différents d'une langue à l'autre. Aussi leur opposition venait-elle uniquement de ce qu'ils ne se comprenaient pas".
Conclusion : Nombre de conflits sont dus au fait que les hommes accordent plus d'importance à la lettre qu'à l'esprit

Extrait du livre l'"Arbre des Exemples - Fables et proverbes philosophiques" de Raymond Lulle - livre publié en 1250

Lire aussi : "Lintelligence émotionnelle" de Daniel Goleman

dimanche 25 octobre 2009

Lettre à mon Aitani,

Je t'écris de la maison pour te donner des nouvelles du potager. je sais que là où tu es, tu dois être un peu dubitatif. Mais à ma décharge, les deux dernières années n'ont pas été très favorables. Il a beaucoup plu et la naissance de Peio... Bon je sais, je cherche des excuses. Je m'étais promis de tenir tout en état et depuis j'ai réduit le potager à sa portion congrue. La petite serre est en friche mais je ne comprends pas pourquoi la terre à cet endroit est devenue si dure. Je me demande si elle ne me punit pas, la coquine, d'avoir un nouveau gestionnaire qui n'est pas à la hauteur de ses ambitions. Ceci dit tu as sans doute remarqué qu'à cet endroit la menthe et la ciboulette se plaisent bien... Et les orties aussi !
Tu ne serais pas content mais j'ai laissé pousser un cornouiller entre le grand laurier et l'érable. A côté, j'ai libéré quelque peu le néflier des ronces et du lierre qui l'encerclaient. Eh bien, tu vas rire, ce néflier sauvage il a donné des nèfles cette année, alors que même le grand néflier devant la maison il n'a rien donné et qu'en ce mois de juillet il a déjà perdu toutes ses feuilles.
Aujourd'hui, il fait très chaud et ils ont annoncé des températures jusqu'à 39 °. Hier soir, juste avant un gros orage, j'ai réussi à planter quelques salades. Bon enfin, j'essaye de tenir le potager bon an mal an.
Le potager, c'est toi pour toujours. Les tomates qui poussent, dans le brillant de leur peau je vois ton reflet. Derrière mon dos ta présence tutélaire et friponne, je la sens. Tu as beau passer avec le petit vent du sud ou discret comme la libellule ou perché sur le pêcher comme l'ombre d'une coccinelle, je te vois. Comment va amañi ? Tu l'embrasses très fort de ma part et puis tonton Jean, papy François et tous les chiens et les chats de la maison Pastou et tous les autres que j'aime, ceux que vous avez aimés qui sont partis avec vous.
Je ne sais pas ce que tu vois... j'allais dire, de là-haut... Pourquoi, de là-haut ? Pourquoi pas du milieu, pourquoi pas d’en bas ? Si tu es là où je pense, je pense que tu as sondé le fond de ma pensée. Et le fond de ma pensée c'est que Dieu est en tout et pas seulement en haut, dieu est au milieu et le milieu est partout. D'ailleurs, je suis sûr de toucher Dieu quand je touche la terre, sauf celle qui a été salie par le round up et les pesticides. Je suis sûr de toucher Dieu quand, de cette terre que je touche, j'aperçois au fond le pic d'Orhy. Je sais que quand j’appuie ma paume sur la terre de mon potager, c'est en même temps toute la chaîne des Pyrénées que je touche jusqu'à la dernière étoile de la dernière galaxie et jusqu’au centre de cette terre dont je sens la chaleur du noyau jusqu’au fond du noyau de mes cellules. Je sais de même que là, je pourrais mourir dans l'instant, c'est comme si je mourrais dans 10 000 ans. Je sais que là, je crois en Dieu.
Je ne sais pas ce que tu vois... Mais je ne sais pas si tu vois d'ailleurs. De là-dedans, de là, de l'ailleurs, de l'ici, peut-être, tu sens les choses avec des sens nouveaux qui rendent peut-être ridicules nos cinq sens ? Un peu comme les cinq sens qui se réuniraient en un seul avec en plus ce que le mystère occulte à notre petite conscience
Je ne sais pas si tu vois, mais tu dois nous trouver bien drôles dans nos costumes de sédentaires, nos vieilles machines surnuméraires, nos abris sous cloches, nos mémoires avachies, nos petits couteaux qui coupent nos petits pains pour nos petits estomacs affamés.
Bon ! L’année prochaine, je promets de faire mieux. Petit à petit, je m’améliore et dans 10 000 ans notre potager il sera au top.

A bientôt aitani et amañi
A bientôt ou à tout le temps

Je t’embrasse

Ton petit fils
août 2009

mercredi 21 octobre 2009

En bref 3

Des routes, encore des routes...
Les élus relancent le projet de voie rapide Mauléon-Charritte. Ils promettent la consultation. Consultation ou pas on ne m'enlèvera pas l'idée que ce projet est une perte de temps et d'argent, qui servira juste, une fois de plus, à justifier aux yeux de la foule le mandat qu'ils écopent jour après jour.

Elus, poil au... Nez !
A Moncayolle, le conseil municipal décidait que le Wimax n'était pas une bonne solution, le CM, donc, écrit des lettres pour contester, il vote même une délibération pour demander la fibre optique. Il est à l'avant-garde. Et au final, le Maire courageux mais pas trés méraires, ne résiste pas aux chants de sa muse, Jean-Pierre Mirande, et à genou devant le Zeus de pacotille le pépé las , il ordonne à la secrétaire de Mairie de prendre la solution WIMAX à la Mairie... Clientélisme, quand tu nous tiens ! Courage, quand tu nous échappes !

Arrête ton char benne à ordures !
Le Modem de Bayrou reniflerait vers les Verts... Moi je veux pas être reniflé par Mirande, Jean-Jacques Lasserre ou Lassalle. Il y a peut-être des endroits ou les militants Modem sont différents, mais ici on a un nid de vieux croulants, je vous dis pas ! Vous me voyez moi sur la même affiche avec ces incapables ? A moins qu'ils viennent avec une pancarte, tunnel du Somport, on s'excuse, transnavarraise, on s'excuse, d'avoir existé politiquement on s'excuse !

Né pour vivre libre
Je pense que de temps en temps il faut se rappeler des choses essentielles. Aucun Dieu, aucun chef, aucun patron, aucun gourou, aucun élu n'est mandaté pour nous dire  comment nous devons vivre au quotidien. Nous sommes tous nés pour la liberté, et nous ne devons avoir aucun complexe à vouloir nous libérer de certaines entraves qui sont des constructions intellectuelles ou culturelles. Alors la liberté, on en fait quoi ?

Travaille plus, feignante !
Je connais quelqu'un à Mauléon qui touche une retraite de 700 euros. Et ce mois-ci, elle a reçu la taxe foncière qui s'élève à... 700 euros. Encore une feignante qui n'a jamais voulu travailler plus pour gagner plus.

lundi 19 octobre 2009

Arrière goût de pétrole

Je relaie ce message qui m'a été envoyé par quelqu'un de ma famille (merci Lulu).Dernièrement, j'avais une petite recette à réaliser et j'ai pris le haché qui me manquait au Delhaize. C'est en sortant le paquet de frigo que j'ai été stupéfait par l'étiquette.

Ce cochon qui a donné son corps à la cuisine a parcouru un kilométrage incroyable, et vivant pour bien faire. Regardez bien l'étiquette et vous verrez:

naissance: Canada
élevage: Australie
abattage: Belgique
découpage: ailleurs en Belgique

Entre le Canada et l'Australie il y a plus ou moins 17000kms et entre l'Australie et la Belgique il y a plus ou moins la même distance. Si je devais parcourir la même distance avec ma Fiat, il me faudrait plus de 1500 litres de mazout à près d'un euro le litre soit à peu près 1500 euros et pourtant le prix au kilo de cette viande est tout à fait normal.
Je ne sais pas pourquoi mais j'ai un peu l'impression de bouffer du pétrole plutôt qu'une viande de porc maigre.

J'insiste juste sur le fait que nous avons des producteurs chez nous et que la base de l'écologie et de l'économie d'énergie, c'est de ne pas faire faire le tour de la planète à la bête qui est destinée à notre assiette.

En conclusion, regardez bien l'étiquette de ce que vous achetez en grande surface, il y a de quoi être surpris.

On se fout de qui sur cette terre

bernard.pat1@gmail.com
- 02 99 42 15 68
- 06 37 16 31 19

vendredi 16 octobre 2009

Ma Dolto


C'est un livre sur Dolto mais pas vraiment une biographie. Pas une étude sur Françoise Dolto. Comme le titre l'indique, c'est un livre personnel, sous la forme d'un récit très libre, qui parle avec le coeur de cette femme exceptionnelle que fut Françoise Dolto.
Ce que j'aime, quand j'entends parler de Françoise Dolto, c'est qu'à chaque fois, je me rends compte qu'elle défendait l'enfant que j'ai été et qui a été dupé par le système scolaire. Je ne me lasse pas de replonger dans ses ouvrages et entendre parler d'elle parce que à chaque fois j'ai l'impression qu'elle est là, au dessus de moi, à me caresser la tête gentiment, à m'écouter et me comprendre comme un ange protecteur.
Le chapitre consacré à l'école raconte très bien comment Dolto imaginait l'école. "Quand on parle d'"échec scolaire", faisait remarquer Dolto, qui est en échec ? L'écolier ? Et si c'était l'école ?". C'est la première fois que je lis ça de Dolto, alors que ça fait des années que je ressens cela intérieurement et que je l'exprime.
Un autre chapitre que j'aime beaucoup, c'est celui sur les bonbons. Quelle attitude avoir devant un enfant qui réclame un bonbon alors qu'on n'a pas du tout envie de lui donner. La réponse est toute en subtilité et cela n'est pas sans faire penser aux livres de Adele Faber et Elaine Mazlish qui essayent de nous montrer comment avoir des relations différentes avec nos enfants, comment leur parler autrement. Pour dire aussi que l'éducation est un art à part entière qui réclame du temps et de la patience.
Pour critiquer Dolto, il y a du monde. Ceux qui cherchent à perçer médiatiquement d'abord, sans doute agacés par l'omniprésence de cette grande dame jusqu'à aujourd'hui. Par exemple Aldo Naouri. Ce pédiatre a recours aux poncifs les plus débiles colportés par ceux qui n'ont jamais vraiment lu ou entendu Dolto et qui continuent de lui faire porter la responsabilité du laxisme et de l'enfant-roi !
Je me rends compte que beaucoup de gens critiquent Mme Dolto et ne savent même pas pourquoi, n'ayant jamais rien lu ni entendu à son sujet et qui écoutent juste la rumeur populaire qui marmonne dans les basse-cours.
Je crois que Françoise Dolto, c'est une référence, et quand on se préoccupe de l'éducation des enfants, c'est la première personne à qui il faut s'intéresser... Surtout, pour couper court à toutes les idées reçues.

« Je voulais raconter la vie de Françoise Dolto, mais que ce ne soit pas une biographie classique. Je voulais défendre son combat, mais que ce ne soit pas un pamphlet. Je voulais parler de l’inconscient à des profanes, mais que ce ne soit pas “La psychanalyse expliquée à ma fille”. Je crois que c’est en trouvant son titre que j’ai compris ce qu’allait représenter ce livre pour moi.
Parce que le grand public l’avait découverte quand elle avait près de soixante-dix ans, parce qu’elle était apparue à la télévision le cheveu argenté bien coiffé, la petite laine sur les épaules et les lunettes sagement posées sur le nez, Françoise Dolto était trop souvent présentée comme une grand-mère gâteau de publicité. Alors, ce livre, je décidai de l’appeler Ma Dolto. Pour qu’il sonne comme Ma’ Dalton, mère tutélaire, rebelle patentée. Parce que cette Françoise Dolto-là, c’est la mienne, bien que je ne l’aie pas rencontrée, à la fois distante et si proche, et que c’est ma vision d’elle, subjective, partiale, incomplète, que je livre dans ces pages, en murmurant son nom autant que je le clame, comme on dit quelquefois mon enfant, mon héros, mon amour. » Sophie Chérer

--> Ma Dolto
- Sophie Cherer - Editions Stock

Un autre avis

mercredi 14 octobre 2009

Tous à Bayonne le 24 octobre !

En mai 2008 le Gouvernement français annonçait qu’il présenterait un projet de loi concernant les langues territoriales courant 2009. Quelques semaines après, ces langues entraient dans la Constitution.

Si cette annonce et ce vote constituent une avancée dans un pays comme la France qui n’a cessé de mener une politique linguistique à l’encontre des langues territoriales, cela n’est nullement suffisant.

Deux éléments sont indispensables à la survie et au développement de la langue basque : sa co-officialité et la mise en place d’une politique linguistique audacieuse.

Mobilisons-nous afin que le gouvernement français prenne enfin ses responsabilités et adopte les mesures indispensables au plein développement de l’euskara !

dimanche 11 octobre 2009

En bref 2

La Poste et la loi de la jungle
En parlant de l'ouverture de la Poste à la concurrence, le ministre déclare qu'il faut que la Poste soit "compétitive". Il n'est pas inutile de rappeler ce qu'implique ce mot. Etre en compétition ou en concurrence cela signifie qu'il y a des gagnants et des perdants. Accepter ce vocabulaire, c'est aussi accepter ce qu'on appelle le darwinisme social. c'est-à-dire, on est dans la loi de la jungle, le plus fort mange le plus faible et c'est normal !

Religion et tolérance
Une équipe de foot amateur dans laquelle il y a des musulmans refuse de rencontrer une équipe de foot constituée d'homosexuels. Décidément, malgré les discours, la religion ne change pas. Il lui faut du temps. Par exemple, ce n'est qu'en 1992 que l'église s'est excusée d'avoir persécuté Galilée. Ce n'est que depuis 1996 que l'église catholique a accepté officiellement la théorie de l'évolution.
Pour le préservatif , rendez-vous en 2300 ?

Charter en direction de Kaboul.
Vous retournez dans votre, pays, merci ! D'ailleurs, vous êtes sans argent, ça ne nous intéresse pas. On veut bien des touristes, on veut bien des riches et des investisseurs, mais pas de déchets qui gênent l'activité portuaire. Votre pays est en guerre ? Et alors nous aussi on est en guerre économique contre le reste du monde ! Allez ouste !
Il ne fait pas bon être pauvre dans un pays en guerre et de se retrouver errant chez les riches. égoïstes. http://www.cimade.org/

Mathieu Kassovitz doute de la «version officielle» du 11 septembre
Vous avez entendu le réalisateur et acteur Mathieu Kassovitz ces derniers temps ? Il met des doutes sur la version officielle des évènements du 11 septembre 2011. Comment se fait-il qu'il n'y ait aucune vidéo du deuxième avion qui est entré dans la deuxième tour ? Pourquoi ne parle-t-on pas de la 3 ème tour qui est tombée sans raison apparente ? Est-il normal que ces deux tours se soient écroulées de la sorte sous-entendant que des explosifs auraient été déposés au préalable ? Troublant tout de même ! Mais Kassovitz a choqué aussi parce qu'il a cité... Goebbels... Qui a dit «Plus le mensonge est gros, plus il passe»... Bon OK la citation, d'accord, bon mais... Goebbels quand même ! Lire ici

vendredi 9 octobre 2009

Le petit Nicolas

Je voudrais parler du petit Nicolas parce que j'ai un peu pitié du réalisateur qui s'est aventuré à adapter ce personnage au cinéma. Je ne suis pas encore allé voir le film, mais déjà, je peux dire que pour moi, cette initiative est une gageure. Pauvre réalisateur ! Comment rendre compte au cinéma de la magie qui règne entre les dessins de Sempé et les textes de Goscinny ?
Mais bon, tout le monde a le droit de se fixer des objectifs.
Le film, s'il est réussi, il plaira à ceux qui ne connaissent pas le petit Nicolas de Sempé et de Goscinny. Les autres il devront s'abtraire de l'univers du petit Nicolas qu'ils ont connu dans les livres. Parce que de toutes façons, ce sera autre chose.
Le petit Nicolas, ça m'a inspiré un texte, "conseiller muni... Si pâle". C'est un adulte mais un peu naïf (moi en fait) qui se retrouve conseiller municipal un peu par hasard (c'est pas moi) et qui essaie de saisir ce qu'il se passe autour lui et qui parle un peu comme le petit Nicolas. Ceux qui ont lu les "Pensements" l'ont lu.
Le petit Nicolas, qu'est-ce que j'ai aimé ! Et ces jours-ci, en relisant "Les vacances du petit Nicolas", je me dis que ce que je recherche aujourd'hui dans les livres, c'est la magie qui en exhalait dans les livres que je lisais quand j'étais petit. Quand on est enfant, on plonge dans ce qu'on lit et le pouvoir d'imagination rend l'histoire si puissante, tellement réelle, tellement évocatrice ! En relisant le petit Nicolas, j'ai des fragrances d'autrefois qui me reviennent en gerbe, des noms propres qui m'envoient des flashs de l'enfant que j'ai été, des mots qui résonnent et qui font vibrer mes souvenirs.
Même la couverture en elle même me rappelle des souvenirs. C'est pour cela que j'ai tenu à vous scanner mon exemplaire de "Les vacances du petit Nicolas" (ci-dessus).

lundi 5 octobre 2009

Wood'stown d'Alphonse Daudet

Cliquez sur l'image pour l'agrandir

Les éditions associatives Astobelarra / Le Grand Chardon sortiront bientôt leur sixième livre. Il s'agit de Wood'stown, un texte d'Alphonse Daudet illustré par Pierre Lahore originaire de Garindein.
Comme d'habitude, nous faisons circuler une souscription. Cette souscription nous permet de financer en douceur notre projet et nous permet également de privilégier la vente directe pour notre structure qui est son propre et unique distributeur.
Le prix du livre est de 4 euros, au lieu de 5 euros à la parution du livre le 1er décembre 2009.
Il est possible de télécharger la souscription sur le blog : http://astobelarra.over-blog.com/

L'équipe des éditions associatives Astobelarra / Le Grand Chardon

--> TÉLÉCHARGER LA SOUSCRIPTION AU FORMAT PDF<--
Astobelarra/ Le Grand Chardon argitaletxe elkarteak bere seigarren liburua argitaratuko du. "Wood'stown" titulua du, Alphonse Daudetek idatzia da eta Garindainen sortua den Pierre Lahorek apaindua.
Usaiako suskripzioa zabaltzen dugu. Honekin gure xedea diruztatzen dugu goxokiago baita gure egituraren banaketa sistema bakarra den salmenta xuxena lehenesten dugu.
Liburuaren prezioa 4 eurotan da horrela, aldiz 2009ko abenduaren lehenean liburua agertuko denean 5 eurotan izanen delarik.
Suskripzioa eskuratzen ahal da helbide honetan: http://astobelarra.over-blog.com/

Astobelarra / Le Grand Chardon argitaletxe elkarteko taldea.

jeudi 1 octobre 2009

référendum sur le service public postal

Comité national contre la privatisation de La Poste, pour un débat public et un référendum sur le service public postal

- Actuellement, La Poste est un établissementpublic. Premier service public de proximité, son
rôle est crucial pour la collectivité et plus particulièrement en période de crise. C'est pourtant le moment choisi par le président de la République, le gouvernement et la direction de la Poste pour transformer La Poste en société anonyme.
- Que le capital soit détenu à 100% par des capitaux publics ne change rien à l’affaire. Chaque fois que l'Etat a effectué ce type d'opération, il a fait entrer des capitaux privés dans
la société anonyme, (France Telecom, EDF, GDF…), avec des conséquences immédiates : réduction de la qualité du service, suppressions massives d’emploi, augmentations tarifaires,
priorité à la satisfaction des actionnaires. La transformation en société anonyme constitue la première étape d'une privatisation programmée de La Poste.
- Gouvernements et direction de la Poste ont dégradé la qualité du service postal en limitant
les investissements répondant à l’intérêt général. Depuis 2002, plus de 6 000 bureaux de
poste sur 17 000 ont été “transformés” et plus de 50 000 emplois supprimés. La population est la première victime de ce désengagement! Cela se traduit par l'espacement des tournées,
les délais croissants de livraison du courrier, les réductions d’horaires, l'allongement des files
d'attente quand le bureau de poste n’a pas éténcarrément supprimé. Une privatisation de La Poste entraînerait une détérioration encore plus considérable du service rendu aux usagers. La rentabilité maximale immédiate et les impératifs financiers auraient priorité sur l'intérêt g é n é r a l .
Un Comité national regroupant plus de 50 organisations a été créé en septembre 2008, autour d’associations, de syndicats et de partis politiques. Il a demandé au président de la République d’organiser un référendum sur l'avenir
de La Poste comme il en a

Consultation nationale le samedi 3 octobre 2009

C'est pourquoi, face à la menace de privatisation de La Poste, le samedi 3 octobre 2009, lors de la consultation nationale organisée près de chez vous, vous exprimerez votre refus en
votant massivement NON au projet gouvernemental.


Consultation nationale organisée à l’initiative du Comité national contre la privatisation de La Poste, pour un débat public et un référendum sur le service public postal http://www. appelpourlaposte.fr/